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il y a 6 ans
Perversion d’une femme soumise 4
Ses jambes avaient franchi le pas : il ne lui restait plus qu’à s’agenouiller sur le sol en fer. “Tu es libre de refuser. Mais c’est une occasion unique que je t’offre. Tu peux refuser… J’insiste. Mais tu peux aussi regretter de ne pas essayer !” déclama son maître peu avant qu’elle ne se fléchisse de manière à poser les genoux sur le plancher. Avant même que le sommet de la cage ne soit rabattu pour la refermer, la soumise à la chamade prenait conscience du peu de place qu’on lui octroyait. L’étroitesse n’aurait pas permis de mettre une seconde soumise à ses côtés. C’est en se penchant sur les conseils de Martha qu’elle se rendit compte que la cage n’était pas assez longue pour lui permettre de s’allonger. Mais la sensation la plus forte fut d’entendre la double fermeture de la trappe qui lui servait désormais de ciel. Cadenassée en deux points sur la façade, cette partie refusait obstinément de s’émouvoir de l’appréhension de la captive. “Captivité, tu vas apprendre le sens de ce mot” lui glissa son Maître accroupit à côté d’elle… mais du bon côté de la grille. Les barreaux étaient fins, distants de 5 cm, ils se croisaient sur l’axe horizontale tous les vingt centimètres environ.
À genoux, elle devait pencher son buste. Elle changea alors de position, s’asseyant sur le cul, légèrement sur le côté façade, les bras tendus, mains contre le plancher en fer. Même ainsi, elle devait pencher la tête : la grille jouait déjà avec ses cheveux. Elle détestait cette sensation d’apparente liberté associée à l’expression concrète d’une contrainte totale. Le sommet de son crâne frottait contre la sortie bloquée tandis qu’elle se voyait obligée de plier ses jambes en raison du rapprochement des parois l’encerclant.
Elle était en cage. Elle était nue. Elle avait froid. Elle avait peur. Il lui demanda si cela allait aller. La soumise répondit très doucement à son maître un “oui… enfin… je crois” qu’elle n’aurait peut-être pas prononcé si on l’avait prévenu qu’il choisirait cet instant pour partir. Qu’imaginer comme moment plus cruel, plus redoutable pour abandonner cette petite fille emprise à la découverte d’une sensation unique et que peu de ses contemporaines seraient à même de connaître ou de comprendre un jour ?
Son maître l’avait abandonnée malgré ses appels pleins de détresse. Je ne peux décrire ici à quel point elle se sentait fragile face à Martha savourant une Chesterfield sur le rebord de son lit. Elle n’osait pas la regarder. De peur de croiser le regard d’une femme libre et libérée capable de l’observer et de lui rappeler à quel point elle l’avait humiliée.
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“Tu ne dis plus rien ?
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Libère-moi…
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Pas question” répondit Martha doucement
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“Quand revient-il ?
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Dimanche. Il reviendra te chercher dimanche.
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Tu plaisantes ?
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Crois-tu que je me serai donnée autant de mal pour une petite blague ?
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Je ne comprends pas pourquoi…
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Il y a des choses qu’une soumise ne peut pas comprendre. Elle les ressent.
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Je ne suis pas soumise
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Tu l’es plus que tu ne le croyais puisque tu es là maintenant
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Tout ça ne me dit pas pourquoi
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Une soumise apprend. Elle découvre qu’elle savait. Avec moi, tu vas savoir ce que tu es.
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Je ne suis pas un objet
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Non. Bien sur. Mais tu connaissais les règles du jeu en acceptant d’aller plus loin. Tu y es.
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Je ne vais quand même pas passer deux jours comme ça ?
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Arrête de chougner ! Il n’a jamais été question de ça. Ce serait trop simple…
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Simple ?
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Je sais que tu t’habitues vite aux choses qui te troublent et qui t’excitent. Crois-moi, tu vas bouger ce week-end… et peut-être même seras-tu heureuse de t’y réfugier !
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Qu’est-ce que tu as prévu ?”
Martha s’approcha, s’agenouilla, écrasa son mégot sur le plancher de la cage et plongea ses yeux dans ceux de son invitée.
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“Trop tôt pour le savoir ma chérie… Une dernière chose : je ne tolérerai plus que tu ne me dises pas vous à partir de cet instant. Si tu désobéis, je te punis. Si tu te trompes, je te punis aussi. Tu me dis vous et tu m’appelles Madame, on est d’accord ?
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Oui… Oui Madame” répondit presque distinctement la petite fille confuse
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“C’est bien. Tu as enfin compris ce que nous sommes l’une pour l’autre. Moi, je suis celle qui a tous les droits sur toi. Toi, tu n’en as aucun. Tu obéis, un point c’est tout. Et si tu veux arrêter, tu n’as qu’à dire stop. Un simple mot. Juste un seul. Mais sache que si tu veux que ton maître accepte de te recevoir en tant que soumise, tu ne dois pas flancher jusqu’à ce qu’il te libère de mes griffes. C’est compris ?
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Oui…
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Parfait. Je te souhaite donc une bonne fin de nuit.”
Martha s’éloigna, alla rejoindre son lit sans prendre la peine d’ôter son pantalon de cuir, sans éprouver le besoin de soulager les pieds de ses bottines.
J’ignore comment elle est parvenue à s’endormir cette nuit-là. Ce que je sais, c’est que c’est son geôlier qui la réveilla en ouvrant le couvercle de sa boite en fer. Ses premières pensées se portèrent sur les douleurs multiples qu’elle éprouvait. Les suivantes se concentrèrent sur ce que lui faisait Martha. Avant qu’elle n’ait réagi, sa gorge fut cernée par un imposant collier en cuir noir serré avant qu’un cadenas ne vienne annihiler l’espoir de s’en débarrasser. Elle le toucha pour vérifier à quel point sa maîtresse l’avait ajusté et remarqua la présence de deux pièces métalliques sur le devant. L’une ressemblait à un large et solide anneau, l’autre à une plaque en métal incrustée dans le cuir épais dont était constitué le collier. Les mains de son geôlier repassèrent devant son nez et sa bouche, son odeur de femme éveilla ses sens. Elle entendit un nouveau bruit métallique. Quand elle se sentir happée vers le haut sans que sa maîtresse n’use de ses mains, elle comprit et vit qu’une chaîne l’encourageait à se lever.
Elle avait mal partout et tenait à peine debout. Martha semblait reposée et tout aussi décidée que la veille au soir. Décidée à la dresser. Et quand on dresse un chien, la première chose à faire est de le tenir en laisse. Afin qu’il comprenne bien qui commande. Martha se tenait à ses côtés. “Tu n’as pas envie de quitter ta cage… Je peux t’y remettre si tu veux ?”. Elle leva mécaniquement ses jambes pour s’en extraire, une lourde chaîne pendait entre ses seins tant que Martha ne tende la laisse en entraînant son jouet vers une minuscule salle d’eau.
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“Regarde-toi dans la glace !
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Je suis sensée en penser quoi ?
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Tu ne ressens rien ? Laisse-moi t’aider.” Martha désigna du doigt la plaque de métal qui ornait le collier. “Ça, c’est ton nom. Ton nouveau nom. Tu peux t’approcher pour le lire.”
Elle fit deux pas vers le miroir fixé la porte.
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“Je n’y arrive pas…
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Tu ne sais pas lire à l’envers ? Ça ne devrait pas être trop dur… Il n’y a que quatre lettres !
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J’ai compris…
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J’ai vu sur ton visage l’instant où tu as lu ton nouveau nom. Maintenant dis-le !
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Je… Je ne peux pas”
Martha tira sur la laisse et lui ordonna de se mettre à quatre pattes, ce qu’elle fit à la seconde traction sur la chaîne
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“Regarde-toi dans la glace. Voilà… Maintenant, analyse ce que tu ressens et dis-moi ton nouveau nom !
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P… Puta
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Encore !
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Puta
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Qui es-tu ?
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Je suis Puta
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Hé bien voilà ! Tu vois quand tu veux…”
Jamais un réveil ne lui avait paru aussi dur. Jamais…
Sans l’autoriser à se relever, Martha emmena son invitée à la cuisine afin de lui faire goûter son sens de l’hospitalité : la jeune femme émergeait péniblement d’un réveil pour le moins déstabilisant et ne se voyait octroyée aucun répit.
“Tu as faim Puta ?”. Elle lui répondit timidement “un peu”. C’est encore plus timide qu’elle remercia Martha de déposer à terre un bol gorgé de céréales et de lait. “A ta ligne, je devine que tes petits-déjeuners habituels sont un peu plus… riches” continuait Martha en voyant la jeune femme surplomber le bol du haut de ses quatre membres rivés au carrelage. “Tu pèses combien Puta ?” demanda Martha ravie de la douleur que provoquait ce nom à celle qui devait répondre “60″.
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“Tu as toujours été grosse ?
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Oui…
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Tu te plais ?
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Pas toujours…
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Là, maintenant, tu te plais ?
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Je ne sais pas
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Tu ressembles à une truie devant son auge… Ma pauvre, avec tes kilos en trop, tu ne devais pas en exciter beaucoup au lycée. Tu as du beaucoup souffrir à cette époque !
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Vous avez raison
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C’est de parler de ta graisse qui te coupe l’appétit ?
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Je ne peux pas comme ça
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Il va pourtant le falloir. Ce sera ton seul repas de la journée. Si tu n’en veux pas, je te le retire. Si tu veux manger, tu sais comment t’y prendre !”
Son visage disparut : Martha avait remporté une nouvelle victoire. Sa langue lapait le lait et sa bouche aspirait les céréales.
Martha débarbouilla son élève sous l’eau tiède d’une douche “rapide mais nécessaire avant de commencer une bonne journée”. Séchée, toujours en laisse, elle lui fit chausser des escarpins fermés à la cheville par une lanière associée à un cadenas. Les talons étaient si hauts que la pauvre parvenait à peine à conserver l’équilibre. “J’ai mal” avait-elle constaté oralement à propos de la position du pied extrêmement cambré. “Ta gueule” lui avait répondu la femme flic en lui tendant un balai. “Je te laisse l’appartement. Quand je reviens, je veux que tous les sols soient nettoyés. Dans le placard de l’entrée, tu trouveras une tonne de linge à repasser. Lorsque tu auras fini les sols, tu t’en occuperas. Et si il te reste du temps, tu cires mes chaussures. Tu as compris ?” demanda Martha à l’esclave en tirant sur la laisse qui les unissait. “Oui Madame” répondit-elle. La laisse lui fut retirée. Sa maîtresse se retira.
Elle se mit immédiatement au travail. Balai pour la cuisine et la salle de bains, elle prit l’aspirateur pour la chambre, avançant toujours comme un escargot. Elle avait peur de la chute. Elle ne parvenait pas à s’habituer aux talons vertigineux dont Martha l’avait équipée pour la dissuader de s’enfuir. Elle était nue, elle aurait pu s’habiller même si Martha n’avait pas le même gabarit que l’épouse punie. Mais avec ces escarpins, il lui était impossible de descendre un escalier ou même de marcher dans la rue. Ces chaussures hors normes, elle ne pouvait les enlever : le cuir était trop épais pour être coupé avec de simples ciseaux.
Puta ne pensa même pas à s’évader. Elle exécutait les ordres, les transgressant en picorant quelques fruits avant de se mettre difficilement à quatre pattes pour passer la serpillière sur les sols carrelés. Ignorante de l’heure à laquelle revenait Martha, elle ne pouvait demeurer inactive et risquer d’être surprise. Quand elle eut fini de cirer le parquet du salon, l’après-midi était bien entamée et une lassitude s’installait. L’appartement était plutôt sombre. Sans musique, sans fond sonore à l’exception de la rue. Son corps se fatiguait : pour preuve, elle avait dérapé en se relevant d’une pause pipi. Les chaussures glissaient terriblement en plus d’être hautes et inamovibles. Elle installa péniblement la table à repasser et entama la séance de travail harassante : une tonne de linge froissé la défiait sans qu’elle ne puisse s’asseoir. Je comprends pour quelle raison elle chercha ensuite le repos : elle s’allongea dans le lit en face duquel elle avait dormi. Ce qu’elle a d’ailleurs fini par faire en plein après-midi.
Elle fut surprise alors qu’elle essayait de se relever, les cheveux emmêlés et les yeux pleins de sommeil. “Je vois… C’est comme ça que tu travailles… on va arranger ça”. Je crois que c’est la première fois que le visage de l’infidèle affichait la peur. Il ne s’agissait ni d’appréhension ni d’anxiété mais bel et bien de peur. Une peur fondée sur l’expérience. C’est d’ailleurs ce regard plein de détresse qui décida Martha à la pardonner.
Le cirage des souliers achevés, l’apprentie soubrette avait été remise en cage après avoir été libérée de ses chaussures et d’une terrible envie d’uriner. “J’ai un dîner. Je viendrai te chercher vers minuit” lui avait dit Martha en achevant de s’habiller sous son regard. Elle avait faim. Elle avait froid. Le métal ne contribuait pas à réchauffer sa peau. Son collier la serrait, la démangeait. Elle n’y pouvait rien. Elle ne pouvait qu’attendre.
Quand Martha revint, elle la libéra de la cage en lui expliquant qu’il fallait se dépêcher. Elle enferma seule ses seins dans un soutien-gorge en cuir noir aux bonnets ajourés puis enfila un string de la même matière. Elle chaussa les talons hauts qu’elle portait la veille lors de leur rencontre. La suite lui apparut moins aisée mais elle ne pouvait s’y soustraire. Quand Martha entreprit de lui imposer une cagoule également en cuir, elle se laissa faire. C’est elle même qui positionna ses cheveux de manière à ne pas gêner la manœuvre. Le collier quitta sa gorge quelques secondes, le temps de laisser le cuir s’immiscer. La cagoule fut vraiment inamovible lorsque le collier fut resserré et cadenassé à nouveau.
En voyant Martha se saisir d’un bâillon, la jeune femme commença à douter. Mais avant qu’elle ait eu le temps de réagir, un phallus en latex caressait ses lèvres compressées par un bâillon en cuir rigidifié par un strict resserrement des lanières arrières. “Tu ne pourras plus parler maintenant. Si tu désires arrêter, il te suffira de faire claquer tes souliers l’un contre l’autre. Essaie. Voilà, c’est parfait”. Elles échangèrent un dernier regard. Très profond. Elle lui dit ces paroles pour la rassurer “Tu ne risques rien. Tu vas découvrir de nouvelles choses mais elles ne te mettront pas en danger. Ces choses dans la logique des événements.”
Martha obstrua les deux orifices qui permettaient de voir à travers la cagoule au moyen d’un masque en cuir complètement hermétique à la lumière. Elle le serra, vérifia que le bâillon l’était tout autant, puis ajouta la laisse au collier de Puta qui fut entraînée au dehors après que Martha l’eut aidée à enfiler une cape munie d’une capuche.
Il était tard. L’immeuble était calme. La rue aussi. Une voiture attendait dans la nuit noire. Puta ne voyait rien. Elle entendait tout. Son cœur battait fort. Tout lui semblait bizarre. L’ascenseur par exemple, elle n’avait jamais perçu les secousses de cette manière. Celles de la route la déstabilisaient tout autant. Il y avait un homme dans la voiture. Ce n’était pas le maître qu’elle espérait. Martha lui parlait d’elle en lui expliquant la nuit précédente. Il riait. Une autre personne se trouvait à l’arrière avec elle. Mais il ou elle ne parlait pas. L’infidèle avait les mains libres, mais à aucun moment elle ne fut tentée de toucher quoi que ce soit. Et encore moins de se libérer du masque ou du bâillon. Elle acceptait de jouer même si rien ne lui semblait simple. Pas même respirer !
La voiture s’arrêta en banlieue. Dans la cour d’un pavillon quelconque. Le conducteur et sa voisine aidèrent les passagers à descendre du véhicule et les guidèrent à l’intérieur. L’autre ne voyait rien non plus. Mais elle pouvait parler. C’était une femme. Une soumise que son maître emmena “au salon”. Martha, elle, emmena son élève ailleurs et lui commanda de se tenir droite. Au moyen d’une s a n g le en cuir, elle lia ses chevilles l’une contre l’autre. Puis ses jambes, sous et sur les genoux, grâce à deux autres s a n g les. La quatrième, Martha la posa en haut des cuisses. Elle serra plus fort pour celle-ci comme pour les bras qu’elle attira dans le dos de Puta : droits, serrés et liés au-dessus du coude par une lanière en cuir plus souple mais tout aussi solide. Une similaire emprisonna les poignets : leur maîtresse commença à les lever vers le plafond ; lorsque Puta sa manifesta de manière assourdie, il lui fut ordonné de pencher son buste vers l’avant, ce qu’elle fit immédiatement. Martha pouvait alors finir ce qu’elle avait accompli : les bras de sa victime traçaient une verticale parfaite, aussi droite que celle dessinée par les jambes maintenues serrées. Dans l’axe des membres supérieurs que la maîtresse attachait au sommet d’une porte, la tête cagoulée pointait désespérément vers le sol. Lorsque Martha eut achevé d’attacher le cuir à la porte, elle l’ouvrit : le bois vint se figer contre les épaules et la tête de l’épouse immobilisée.
- “Je ne serai pas longue, puisque tu ne peux pas voir le spectacle, écoute et profite” glissa Martha à sa victime avant de quitter la pièce. Au dernier moment, elle se ravisa et ajouta les paroles suivantes “C’est drôle, quand je t’ai vue attachée dans sa salle de bains, j’avais déjà imaginé cette position pour toi”. L’infidèle se souvint alors de la scène et de l’intruse qui ne s’était pas manifestée. “C’était elle” pensait-elle. Oui, c’était Martha. Et cette découverte lui avait immédiatement donné l’occasion de proposer ses services au propriétaire d’alors.
Puta ne disposait plus de ses jambes et les mouvements de son buste étaient vains. Ses bras demeuraient immobiles et ne tarderaient pas à s’ankyloser. Elle n’entendait que des bribes de mots, plutôt des bruits sourds, le cuir l’empêchait de tout distinguer. Mais quand ce fut un cri qui déchira la pièce voisine, elle le reçut parfaitement. Ce fut le premier d’une série à la cadence en constante augmentation. Celle qui l’avait accompagnée le temps du trajet était en train de recevoir une cinglante correction de la part de son maître. Plus expérimentée, la soubrette (il s’agissait de sa tenue) exprimait une douleur significative par le biais de cris de plus en plus rapprochés… la badine saluant de plus en plus souvent ses fesses nues. Valérie, c’est son nom, avait relevé seule sa jupe sous le regard de l’assistance captivée. Et depuis elle la maintenait soulevée pour une meilleure exhibition aux yeux de deux femmes dont Martha et d’un travesti agenouillé aux pieds de sa maîtresse. L’autre homme de l’assistance était un dominateur amateur de photographie. Lui n’était pas confortablement installé mais prenait place au plus près de l’action.
L’assemblée s’était retrouvée en début de soirée dans un club spécialisé de la capitale et avait décidé d’entamer la nuit en comité restreint. Martha avait promis d’apporter une nouvelle venue qui saurait être distrayante. Tous ceux réunis ce soir-là connaissaient les goûts de la dominatrice : fétichisme, bondage, humiliation, scénarisation. Elle avait décidé d’infliger la fatigue d’une position éprouvante avant de passer à une humiliation publique.
Le soumis avait déjà eu son lot avec une féminisation particulièrement poussée infligée par son imposante maîtresse. Valérie recevait sa punition pour n’avoir pas accepté de jouer au sous-sol du club parisien. “Le plaisir ici ou la punition ailleurs” lui avait proposé le maître. Vous connaissez son choix.
Le poids de la soumission augmente avec le nombre d’yeux qui observent. Elle le savait. Puta allait l’apprendre puisque les fesses de Valérie affichaient la rougeur des grands soirs.
Martha emmena le photographe voir sa proie. Un filet de salive s’échappait lentement du bâillon en cuir. Martha l’essuya, vérifia que le bâillon était toujours bien en place, puis libéra la jeune femme de la position exténuante dans laquelle elle se trouvait.
Les jambes libérées de la contrainte du cuir, elle fut emmenée au salon, les bras encore liés dans le dos. Elle ne voyait rien. Mais elle entendait. Elle entendait l’autre dominatrice jouir du regard “Quel beau visage” se moqua-t-elle avant d’ordonner à son soumis d’aller enlever son string. Puta affichait sa chatte rasée aux personnes présentes dont elle ignorait tout. Le photographe la shoota comme précédemment. Il s’intéressait à ses lèvres lisses et pures tout en remarquant à voix haute qu’elles n’étaient pas déformées par les jeux auxquels aimait s’adonner Annabelle, l’imposante domina qui l’observait avec intérêt.
Ce qu’elle prit pour une cravache s’immisça entre ses cuisses. Il s’agissait en fait de la badine mais peu importe. L’ordre d’écarter lui fut donné. Elle ouvrit l’accès à son sanctuaire. Val fut envoyée en éclaireuse. A genoux, elle caressait de sa langue les lèvres épaisses de Puta. La jeune esclave ignorait le sexe de cette langue jusqu’à ce qu’une parole ne l’éclaircisse. Elle se sentait émue de ne pas voir le visage de la première femme qui l’emmenait doucement vers le plaisir. Ses gémissements passaient à peine le cuir sous lequel la chaleur devenait torride.
“Assez” scanda Martha qui tira sur la laisse pour emmener Puta vers une lourde table basse modifiée pour des pratiques qui nous conviennent. “A genoux” commanda-t-elle à Puta qui exécuta instinctivement l’ordre. “Avance. Avance encore” précisa-t-elle. Les genoux de Puta vinrent se heurter aux pieds de la table. “Cul relevé” exigea-t-elle avant d’attirer en avant le buste de sa victime. Elle passa la laisse dans un anneau, en fit le tour, tira dessus de manière à ce que le collier et le visage de la soumise soit au plus proche de la pièce métallique. Buste allongé sur la table, cou maintenu au niveau du bois grâce à la laisse, la position fut presque parfaite. Elle le fut après avoir serré deux lanières de cuir autour des cuisses et des chevilles de la Miss.
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“Est-ce qu’elle sait ce qui l’attend ?
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Non
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Vraiment rien ?
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Absolument rien. Ce qui l’attend, c’est pour son bien
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Tu es vraiment redoutable” conclut le maître fesseur
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“Tu me prêtes ta soumise ?
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Je t’en prie chère amie
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Viens-là toi… Mets-ça
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Oh Oh… très bel engin dis-moi !
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Je trouve aussi
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Mais elle, que va-t-elle en penser ?” demanda-t-il à Martha
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“Cette salope va adorer… la preuve” conclu l’enquêteur après que ses doigts eurent glissé entre les lèvres lisses et brûlantes. “Regarde” dit-elle avant d’ajouter “puisqu’elle ne te semble pas te laisser indifférent, je te laisse lui expliquer”
L’homme posa un genou à terre, rapprocha sa bouche de la cagoule et en flattant les fesses de la demoiselle tint ces paroles :
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“Je vais t’expliquer ce que je vois. Je vois Val, mon épouse et esclave, en train de mettre un gode ceinture. Je ne vais pas te le décrire, tu auras tout le temps de l’imaginer quand il sera en toi. Tout ce que je peux te dire, c’est que ta propriétaire en a amené plusieurs, tous plus gros les uns que les autres.
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Et tu vas tous les goûter” ajouta Martha
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“Et tu vas tous te les prendre. L’un après l’autre. Et pour finir, je crois que je te prendrai moi aussi” Conclut Martin en se relevant, claquant sèchement la fesse droite au passage.
Valérie s’agenouilla derrière Puta, et approcha le gode-ceinture du sexe de sa consœur. “Pas ici Val, c’est être enculée qu’elle aime, pas être baisée, sinon elle serait restée avec son mari !’ déclama Martha de manière à ce que sa soumise prenne ces paroles en plein cœur. Le gode à peine lubrifié par la salive de Val commença à disparaître progressivement. Gémissement anecdotique, le bassin poursuivit sa progression jusqu’au deux tiers du parcours puis revint en arrière avant de réaliser un sprint qui provoqua une réelle manifestation sonore de Puta. Martha préféra intervenir “Prends ton temps Val, je veux qu’elle profite bien cette petite”. “Toi, compte les secondes” ordonna l’autre domina à son soumis qui profiterait du show en alignant mentalement les chiffres d’un décompte f o r c é ment imprécis.
Au début, Puta essayait de mouvoir ses bras ou ses pieds, mais après plusieurs assauts, elle n’en avait déjà plus la f o r c e . La position de restriction décuplait la fatigue de la pénétration. Lorsque Val arrêta son harcèlement, ce fut pour changer de gode-ceinture, sur les conseils éclairés de celle qui expliqua à sa protégée qu’il était deux fois plus large que le précédent. Puta s’en rendit instantanément compte. Tout d’abord par la difficulté qu’éprouva Valérie à l’introduire. Ensuite par la lenteur du cheminement de l’objet. L’audience, elle, profitait des cris étouffés par le bâillon et de l’ondulation du corps mimant la délicieuse t o r t u r e . Sa maîtresse demanda néanmoins à Val de cesser son travail. Elle se retira, Martha déposa deux grosses noisettes de lubrifiant sur le gode en ordonnant à l’autre soumise de le répartir sur la surface, Martha se chargeant de déposer une troisième dose directement sur l’orifice déjà bien travaillé. Lorsque cela fut fait, le show recommença.
Dans l’incapacité de se défendre, l’infidèle eut le (dé?)plaisir de recevoir de longues minutes durant ce traitement aussi lent que dilatant. Aux cris assourdis succédèrent des râles de plus en plus rauques qui incitèrent Martha à détacher le bâillon aussi humiliant qu’efficace. Le phallus en latex libéra la bouche de la belle martyrisée. Un flot de salive se répandit sur la table basse. Puta profita de cette libération pour respirer par la bouche afin de reprendre le contrôle d’une chamade infernale. Lorsque Val se retira d’entre les fesses dodues de la Miss, elle laissa échapper un gémissement qui eut le mérite de séduire unanimement l’assemblée impatiente d’assister au bouquet final.
La troisième gode ceinture était vraiment monstrueux. Il affichait une longueur d’au moins trente centimètres, soit presque six fois son diamètre, à peine moins large que le précédent, tout en disposant sur l’ensemble de sa surface d’aspérités en latex. Ces minuscules picots augmentaient considérablement les sensations de la victime. Puta les accueillit en serrant les dents puis en se libérant d’un cri étouffé mais prolongé. Le lubrifiant étalé sur le gode par le soumis masculin au décompte verbal facilitait la pénétration sans diminuer les sensations. À chaque assaut, Valérie qui commençait à souffrir de ses genoux, enfonçait plus profond le latex. Quand elle sentait une résistance, elle insistait avant de reculer pour mieux revenir. Puta n’acceptait bien sur pas l’objet dans son intégralité. Elle en était même loin, mais elle en avait l’impression. De la bouche grande ouverte s’échappaient une respiration audible et de courts gémissements rythmés sur les coups de reins de son b o u r r e a u .
600… 601… 602… 603… il s’était écoulé plus de secondes que le décompte ne l’annonçait. Le maître fesseur s’approcha de sa soumise et lui commanda de se retirer. “À mon tour” dit-il pour mieux effrayer la victime. Alors qu’il s’apprêtait à prendre position, Martha colla sa bouche à son oreille pour lui confier discrètement que le propriétaire de Puta ne souhaitait pas cela. “C’est trop tôt, ça la bloquerait. Il y a une frontière mentale entre un objet et le sexe d’un maître. Surtout lorsque ce n’est pas celui de son maître. Et que l’on est pas préparée.” Le signe de la tête montra qu’il acceptait l’intervention de Martha dont Puta ignorait tout. “Quand je vois l’état de son trou du cul, ça ne me donne pas envie. Valérie, va chercher de quoi essuyer cette chienne. Ensuite libère la table basse, je vais en avoir besoin pour toi”
Puta ressentit le nettoyage comme il se doit. Une humiliation supplémentaire. Martha et les deux dominateurs discutaient et riaient dans la pièce autour d’un verre de plus. Le soumis servait de souffre douleur à sa maîtresse. Détachée, celle qui l’avait sodomisée l’aida à mettre pieds à terre et à se tenir comme un bipède. Chancelante — elle se sentait faible —, Valérie l’assistait pour conserver l’équilibre. Un verre se posa sur ses lèvres. Martha lui apportait la coupe de champagne qu’elle dégustait. “Bois, tu l’as bien mérité”. Elle se délecta de l’instant de douceur. La chaleur de l’alcool allait contribuer à la réconforter. “Emmène-la à la voiture nous rentrons”
Après avoir tenté de nouer le dialogue avec celle qui l’avait pénétrée, Puta ne prononça plus une parole jusqu’à l’appartement où elle résidait temporairement. Martha fut étonnée que l’éternelle effrontée lui demande aussi poliment de bien vouloir lui enlever la cagoule alors qu’elle venait de lui rendre la vue.
La pression exercée sur la gorge se relâcha. Sa peau redécouvrait la caresse de l’air et son cou celle de Martha. Mais cette caresse ne dura pas : elle referma le collier sur la gorge dominée par un visage fatigué et suintant. “Suis moi” demanda la maîtresse à son esclave. Matée, elle obéissait maintenant au doigt et à l’œil. Pleine de crainte et de reconnaissance à la fois. Puta avait conscience du pouvoir de sa maîtresse, connaissait sa dureté, mais aussi sa justesse. En voiture, elle avait appris l’intervention de sa maîtresse pour la sauver de l’homme qui avait envie de la posséder. Martha pouvait l’humilier, lui infliger plaisir et douleur. Mais Martha pouvait aussi la protéger, prendre soin d’elle. Et après une soirée aussi riche en sensations, exténuée, elle se prenait plus encore au jeu et s’abandonnait complètement, sereinement.
énudée, avec son collier comme seul vêtement, elle se laissa doucher par sa maîtresse puis raccompagner à sa cage encore tenue en laisse. Elle s’y glissa sans avoir à recevoir une parole.
Martha cadenassa la cage et rejoignit la salle de bains. Quand elle revint, Puta dormait déjà.
Dimanche midi, à l’heure où les familles se réunissent pour le déjeuner dominical, Martha et son élève prenait une collation dans la cuisine. Un petit-déjeuner à l’anglaise, copieux et revigorant lorsque l’on a le ventre complètement vide. Pour la deuxième fois de sa vie, Puta mangeait à quatre pattes, presque sans y prêter attention. Affamée, elle n’avait absolument pas cherché à négocier. Lait et céréales dans un bol, jambon et œufs dans une assiette, rien, y surtout pas la proximité du sol carrelé ne l’aurait empêchée de se restaurer.
Martha l’enroula ensuite pour l’assister : épilation, shampoing et pose de vernis permirent à Puta de mieux cerner son rôle. Ce fut ensuite le temps de “se bouger un peu” : gymnastique d’intérieur pour la maîtresse et son élève. Stretching, abdo, pompes, corde à sauter. Puta ne réussissait pas à suivre le rythme de sa maîtresse, en bonne condition physique. Elle termina éreintée, aux genoux de sa maîtresse.
“J’ai ce qu’il te faut fainéante” lui dit alors Martha.
Il était quatre heures de l’après-midi quand elles arrivèrent au parc de Sceaux. Un très beau parc de la région parisienne. Etendu, bardé d’arbres et suffisamment fréquenté pour créer les conditions d’un jeu parfaitement pervers.
Psychologiquement, Puta avait eu le temps d’imaginer ce qui l’attendait. Et cette attente ne lui déplaisait guère ! Martha avait déniché dans sa commode un grand tee-shirt de nuit qui allait à merveille à Puta tant il desservait sa silhouette. Large à la taille, il couvrait son corps jusqu’à la moitié des cuisses avec une blancheur parfaitement opaque. Martha chercha un bon moment une solution pour ne pas ôter le collier à son esclave mais elle ne trouva pas de solution adéquate. Ainsi, l’épouse infidèle redécouvrit la liberté plus tôt que prévu. Le mot liberté est inapproprié tant Martha la possédait psychologiquement.
Allongée sur un drap étendu sur l’herbe, Martha nourrissait le désir de prendre le soleil. Elle convia son élève à ses côtés sans se soucier du lieu. “Puta, à genoux, ici” dit-elle à haute voix en indiquant l’endroit. La jeune femme docile s’agenouilla à côté de sa maîtresse qui ne tarda pas à mettre en œuvre son plan. En passant sa main sur le flan droit de Puta, elle mit en route l’appareil de gymnastique passive installée autour de sa taille. Vous connaissez tous et toutes le fonctionnement de ces appareils : une ceinture où se fixe le boîtier qui contrôle le rythme et l’intensité des impulsions électriques envoyées à des électrodes. Généralement, ces électrodes sont fixées sur les zones que l’on désire faire travailler. Dans ce cas, Martha les avait placées de manière à rendre la séance complètement insolite.
Puta avait immédiatement compris ce que lui réservait sa maîtresse en disposant les patchs ici où là, mais elle ne se doutait pas qu’elle l’emmènerait au dehors, simplement protégée du long tee-shirt mickey. Elle se sentait ridicule… tout en l’étant un peu avec ses talons hauts !
“Je crois que ça va beaucoup m’amuser d’observer ton visage pendant que tu fais ta gym !” déclara Martha en ajoutant “les mains sur les genoux et immobile”. À genoux, cul nu contre les talons, inondée de soleil, Puta recevait les micro décharges à son insu mais ressentait les contractions musculaires des zones concernées : une électrode à la naissance de chaque sein et une autre juste en dessous, trois sur le ventre dont une à la naissance du pubis, et enfin une électrode sur chaque grande lèvre et une autre sur la face intérieure de chaque cuisse.
Après quelques minutes de cette position et de ce traitement, Puta transpirait déjà à grosses gouttes. Le soleil la frappait v i o l emment tandis qu’un feu intérieur la consumait. Martha accentua la fréquence du jeu plutôt que de la libérer. Il se passa plus d’une moitié d’heure avant qu’elle ne l’autorise à arrêter l’engin et à décoller les électrodes “discrètement”. Ce qui n’empêcha pas Martha de se moquer d’un rire à gorge déployé en voyant son élève tenter de retirer sans être vue les patchs collés sur ses lèvres intimes.
“Tu te sens mieux maintenant fainéante ?” demanda Martha à Puta qui répondit un “oui” assez enjoué. Finalement, ce jeu l’avait plutôt amusée. Elle avait gagné le droit de s’allonger pour se reposer, néanmoins fermement encouragée à remonter le tee-shirt à la limite de son sexe de manière à “distraire les promeneurs”.
Quand sur le chemin du retour, en traversant la lisière du bois, Puta se mit en quête d’un lieu d’aisance pour soulage une envie pressante, Martha se permit d’intervenir. “Je ne t’y ai pas autorisé” déclara-t-elle. Puta commençait à connaître les règles du jeu.
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“Si je demande, me l’accorderez-vous ?
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Demande…
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Pourrais-je aller aux toilettes ?
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Mieux que ça…
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Pourrais-je aller aux toilettes Madame ?
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Formule-le autrement !
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M’autoriseriez-vous à aller aux toilettes Madame ?
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Non !” répondit-elle sèchement à une Puta désarçonnée. “Ici” exigea-t-elle en désignant un tronc d’arbre en retrait du chemin.
Puta hésita puis s’y dirigea. Martha la suivit. Puta la regarda. Elle n’avait pas l’intention de manquer le spectacle. Puta s’accroupissait lorsque Martha l’arrêta. “Debout. Je veux que tu pisses debout, en me regardant droit dans les yeux” ordonna-t-elle. Puta se releva, remonta le tee-shirt tout en regardant sa maîtresse qui se tenait juste devant-elle, la protégeant du chemin emprunté par les promeneurs. Elle était bloquée, n’arrivait pas à se relâcher. C’est quand elle baissa les yeux que le mécanisme se mit en route. “Regarde-moi”. Elle fit l’effort mais fuit de nouveau. Martha la flatta d’un “tu es une bonne chienne Puta” qui l’humilia un peu plus. Quelques gouttes d’urine maculaient l’intérieur des cuisses et les contours de ses grandes lèvres. “Essuie avec ta main” ordonna la maîtresse. Elle s’exécuta docilement, si bien que Martha n’hésita pas à lui commander de lécher ses doigts. Elle refusait. Martha se saisit du poignet en question et porta les doigts à la bouche. “Lèche… ou je te punirai aussi douloureusement que possible”. La langue s’enroula autour des doigts et s’humecta d’urine.
De retour à l’appartement, Puta retrouva son collier et l’humiliation de la cage. Son maître l’en libéra en début de soirée. “Ton regard a changé” lui confia-t-il sur le chemin du retour.
Bien après le retour de son mari, l’épouse modèle repensait régulièrement à ce week-end. Le caractère implacable des événements l’avait marquée autant que l’excitation ressentie sur le moment… et bien après ! S’ensuivit une période durant laquelle elle devint moins passive troquant son tablier de soumise innocente contre la tenue d’esclave consciente de ses actes. Il y a toujours une période où la soumise (ou le soumis) éprouve l’envie d’aller plus loin. La rapidité d’enchaînement des épreuves avait créé une inertie qui avait emprisonné la victime dans une quête absolue de sensations.
Si bien qu’elle redoubla d’efforts pour satisfaire sa soif de plaisir. En résumant, je pourrais utiliser la formule suivante : elle se savait soumise, elle se voyait soumise et elle avait besoin de l’éprouver, de le prouver.
L’anecdote du mariage en est un parfait exemple. Tous les trois, elle, son mari et son amant, descendirent en province pour le mariage d’amis communs. Le jour des noces, lendemain de leur arrivée, elle confia à l’oreille de son maître la présence d’un porte-jarretelles sous le tailleur vert pale fièrement porté. Elle lui murmura même qu’elle le portait pour lui malgré l’incompréhension de son mari. Plus tard, dans la soirée, c’est son mari qu’elle encouragea à ne pas bouder le champagne constamment proposé aux invités. Quand il commença à boire sans l’aide de ses encouragements, elle défia son maître d’en profiter.
Il releva le défi après y avoir mûrement réfléchi. À peine avaient-ils rejoint leur hôtel qu’elle s’empressa d’aller retrouver son amant à l’étage inférieur. Elle se présenta devant la porte de sa chambre laissée ouverte sur la pointe des pieds, les chaussures à la main. “J’ai envie de toi” lui avoua-t-elle alors qu’il l’entraînait vers la sortie de nuit du modeste hôtel. Ils firent plus de dix kilomètres à toute allure sur des routes de campagne obscures et sinueuses. La chaleur était étouffante. En montant en voiture, elle avait retiré sa veste. Il avait exigé que le caraco le soit aussi. “Si j’avais des pinces, tu y aurais goûté” déclara-t-il en caressant les deux lourdes mamelles au détour d’un feu tricolore aussi inutile que noctambule.
Les zones industrielles de province ont quelque chose de fascinant la nuit. Désertes, elles n’en demeurent pas moins illuminées. La voiture s’immobilisa sur une aire de lavage libre service, en retrait de la route. La nuit, les zones industrielles de province sont surréalistes, cette nuit là, plus encore. La jeune femme descendit de la voiture à moitié nue, simplement vêtue d’une jupe froissée et de bas plissés. “Tu crevais d’envie de montrer ce que tu m’avais réservé, c’est le moment”. Sans se démonter, elle dégrafa sa jupe et lui lança en éclatant de rire. “Pas mal. Ce serait mieux si tu remettais tes bas comme il se doit”. Elle remonta les bas et réajusta les jarretelles grâce à la lumière artificielle des pistes de lavage. Il s’approcha d’elle et la félicita “C’est mieux ainsi Puta”. L’entendre prononcer ce mot la troubla. Martha lui en avait donc parlé. Lui qui ne l’avait pas questionné sur son week-end puisqu’il connaissait ce que lui avait réservé sa complice. “À genoux Puta” ordonna-t-il d’une voix puissante. Elle posa ses genoux sur le bitume immédiatement douloureux. Il s’approcha et resta immobile devant elle pendant de longues secondes. “Qu’attends-tu ? Suce-moi maintenant !”.
Elle déboutonna le pantalon pour libérer le sexe à prendre en bouche. Elle n’entendait que le bruit de son ouvrage : la campagne était encore plus silencieuse qu’une chambre d’hôtel. Son maître allait jouir, elle le sentait, elle l’entendait. Soudain, il empoigna sa chevelure et la tira en arrière de manière à empêcher de se soustraire à l’humiliante averse. Le sperme vint se fixer sur son visage : la pluie frappa le nez et les paupières maintenues fermées jusqu’à ce que le maître ait cessé d’étaler sa semence sur l’ensemble du visage. Sa queue termina le lent cheminement entre les lèvres de celle qu’il encouragea à se relever après s’être retiré.
“Donne moi ton slip” lui ordonna-t-il. Il le glissa dans sa poche tout en la sommant de faire subir le même sort à ses bas. Une fois les jambes nues, elle pouvait regoûter aux joies du sol douloureusement dur. “Les mains sur la tête…” lui demanda-t-il d’un ton monocorde. Il rangea un bas dans l’autre poche, utilisant le rescapé pour attacher les poignets de l’infidèle. Le nylon ne fit qu’un tour autour de chaque poignet, fortement enserré l’un et l’autre.
Il ressortit le slip de la poche et l’examina. Il commenta son humidité en assénant un “Puta, tu as passé ta journée à mouiller ou quoi ?” particulièrement humiliant. Répondre oui l’était tout autant pour elle. Elle le reconnut néanmoins. Il renifla le slip avant de présenter à cette esclave le fruit de son désir. La face la plus odorante effleurait les narines pendant qu’elle respirait profondément ce délicieux parfum. “Ouvre ta bouche pleine de foutre” ordonna celui qui y fit pénétrer le slip.
En pressant sur les poignets, il parvint à les abaisser jusqu’à la nuque de celle qu’il dominait. La position des bras n’était pas très confortable mais il s’en moquait. Il se moquait également que le bas étiré vers l’avant ne morde la commissure des lèvres crispées. L’unique objet de son attention consistait à immobiliser le bâillon qu’il avait improvisé. L’extrémité du bas tiré et filé fut fixée au poignet gauche après avoir fait le tour du visage maculé de sperme.
Le sperme séchait. Puta mouillait de désir et de honte. La douleur et la chaleur accentuaient la sudation de son corps tandis que le lieu parfumé de sexe accroissait ses envies inhibées. Il lui commanda de se relever tout en l’aidant. Ses genoux devaient être rouges. Il demanda à ce qu’elle remette ses souliers. Elle l’écouta tout en essayant de fuir la lumière. “Il n’y pas un chat pour te voir… Arrête d’avoir la trouille ! Je sais mieux que les autres que ça t’excite !” lâcha-t-il en la ramenant dans la lumière.
C’est alors qu’il entama un bondage sommaire mais efficace de ses seins. Au moyen du bas restant, le globe gauche fut cerné à sa base, suffisamment serré pour que le comprimer, puis utilisa la partie restant pour pratiquer de même sur l’autre globe. Comme il n’avait pas assez de longueur de nylon, il serra plus fort le sein droit. Esthétiquement, l’ouvrage n’était pas extraordinaire, mais physiquement, Puta ressentait la double pression et le rapprochement des seins : comprimés, ils se touchaient néanmoins grâce au manque de nylon.
“Je regrette vraiment de ne pas avoir de pinces” répétait le maître en pressant les tétons durcis entre ses ongles. Sans relâcher la pression des doigts, il entraîna Puta hors de la zone éclairée, vers une poubelle placée près des taillis. Il la coinça entre son sexe et le plastique de la poubelle. Au fur et à mesure que son ouvrage prenait forme, Puta se penchait. D’un bras puissant, il encouragea le mouvement de manière à ce que ses seins soient douloureusement plaqués contre le couvercle orange.
Il la baisait rarement comme une femme. Il préférait son “trou de chienne” mais cette nuit là il avait commencé par son sexe. Plutôt doucement. Lui apportait le plaisir, les bras liés et la bouche muselée accentuaient le plaisir, la compression des seins excitait le psychisme. Très timides au début, les gémissements se firent plus prononcés sous la longueur de l’assaut. Il prenait son temps, comme si le lieu n’avait aucune importance, opérant même de ses doigts pendant de longues secondes tout en restant bien au chaud.
Lorsqu’il se retira, il lui ordonna de retourner dans la lumière tandis qu’il cherchait au sol une quelconque branche pour la faire ravaler ses cris. Puisqu’il n’en trouvait pas, il changea d’idée et opta pour une poignée d’orties ramassées contre le mur jouxtant un parking.
Malgré l’attention qu’il y portait, les orties parvenaient à le taquiner. Cela l’a contrarié au point de vouloir se venger gentiment mais vigoureusement sur Puta qui reçut sa première volée d’orties dès qu’il s’en fut suffisamment rapproché. Au début, cela l’amusait plutôt, le bruit lui plaisait, le contact avec les orties fouettés par la main n’était pas si désagréable. Mais après une dizaine de salves, ses seins ne tardèrent pas à la brûler. Elle commença à grimacer mais elle ne pouvait absolument pas se protéger du désir de son maître. Il avait commencé par fouetter sans distinction l’un ou l’autre, il organisa ensuite son jeu mordant, imposant une série de projections d’orties à un sein, puis à l’autre. Il fit de même pour les fesses nues, alternant claque bruyante et orties silencieuses.
Lorsqu’il eut achevé de travailler son cul, Puta s’était mise à genoux, les seins sur les cuisses afin de les protéger d’une nouvelle attaque. Il se vengea sur le dos, préférant le caresser du bout des orties plutôt que de le fouetter. Elle se releva après avoir été doublement sommée d’exécuter l’ordre : une main empoigna ses cheveux, l’autre projeta rapidement les feuilles d’orties sur son sexe. La fessée fut rapide mais le rythme soutenu compensait cette lacune. Sa main allait en souffrir, mais le maître appliqua de ses doigts une feuille d’ortie sur chaque grande lèvre de Puta qui n’allait pas tarder à pleurnicher de rage. Il s’arrêta juste à temps, abandonnant l’ortie pour le jet du lavage.
“Place toi au centre” : au centre de la piste de lavage, sous la lumière, bondagée, bâillonnée, nue et rasée, seins, pubis et fesses rouges et brûlants. Elle ne pouvait et ne voulait pas éviter le jet d’eau froide qu’il envoyait sur lui. Il avait opté pour le jet le plus doux, celui dont on se sert pour rincer, pas pour laver. Cette douche diminua sensiblement la chaleur des orties sans l’apaiser totalement.
Le lendemain matin, elle avait encore des cloques sur les parties fouettées quand elle s’éveilla l’anus encore parfumé du sperme qu’il y avait déposé lors de l’assaut final, lorsqu’il culbuta Puta à l’arrière de sa voiture, partiellement libérée de son bâillon, une main contre la vitre, l’autre sur sa chatte étrennée par les orties.
Bien des semaines après, au début du mois d’octobre, un événement majeur est intervenu dans leur relation. Un événement parti de rien. Ou plutôt qui n’avait l’air de rien au début.
Comme tous les samedis, l’infidèle avait rejoint son amant à son domicile. Au pire, le maître ne disposait de sa soumise que durant deux ou trois heures. Il détestait se lever tôt même si adorait la t o r t u r e r avec délicatesse. Au mieux, cela durait jusqu’au soir. Parfois, les absences du mari leur permettait des fantaisies. Mais pas en cette période.
Néanmoins, les jeux étaient soutenus et très orientés sur le bondage et le latex. Elle avait pris goût à cette matière. Assez pour lui exprimer un soir de confidence téléphonique qu’elle aimerait être un jour entièrement recouverte de latex. Aussi ne fut-elle pas surprise mais ravie de voir son cadeau.
En se regardant dans la glace, elle ne voyait qu’une silhouette sombre et luisante. Il lui avait ôté jusqu’à son alliance afin de gainer ses doigts. Elle admirait ses jambes fuselées, briller sur des talons vertigineux. Sa poitrine gonflée ne se démarquait pas assez de sa taille à son goût. Elle lui avait demandé de la prendre au moyen d’un corset de taille assez serré pour rendre la respiration difficile. Elle suffoquait à moitié sous la cagoule où ses yeux brillaient comme deux flocons de neige sur un tas de charbon.
“Tu te sens bien ?”… elle lui avait répondu en l’embrassant. Mais alors qu’elle en voulait un autre, son maître jugea opportun de maintenir cette bouche ouverte. Cette bouche cernée par un latex brûlant ne tarda pas à se retrouver béante, maintenue par de ces baillons qui laissent accès à la langue… et au reste. Elle ne parlait plus. Elle grommelait. Bientôt, bouger lui serait pratiquement impensable.
Une épaisse pièce de cuir noir cadenassée autour de son cou allait permettre au propriétaire d’immobiliser son animal les bras dans le dos, ramenés sur une bande qui courait le long de son échine. Les poignets entravés, ses membres supérieurs étaient bloqués. Bientôt, ce fut à sa vue de perdre sa liberté : son maître lui imposant un masque en latex totalement opaque.
Le rythme cardiaque de Puta avait déjà considérablement augmenté mais son maître acheva son œuvre au moyen d’une barre d’écartement qui bientôt déchirerait ses muscles. Ouverte comme la Tour Eiffel, elle se doutait qu’il n’avait pas fini.
C’est grâce aux explications de son maître qu’elle commença à imaginer la suite. “J’ai eu l’idée de ce petit jeu un soir en pensant à toi. Sois vigilante car tu ne devras pas bouger d’un centimètre. Je place sous ce talon un glaçon, un beau et gros glaçon. Il est très solide. Assez pour ne pas se casser maintenant que je relâche ta cheville. Assez pour résister lorsque tes deux pieds reposeront sur deux cubes de glace. Voilà… Ne bouge surtout pas. La semelle ne doit pas bouger… Maintenant, tu as gagné quatre bons centimètres… Quatre centimètres que tu vas perdre progressivement. Sans rien pouvoir y faire. Les glaçons vont fondre et je te garantie que tu vas le sentir”.
Une corde en coton nouée autour du corset se glissa entre ses fesses écartées, contraignant le latex à se torde un peu plus, jusqu’à pénétrer ses lèvres intimes pour glisser le long du pubis et achever sa course dans une boucle autour de la taille encordée.
Mais au lieu de se terminer aussi simplement, la corde repartait ensuite vers le plafond. Le propriétaire de Puta montant sur un escabeau pour attacher la corde tendue au moyen du mousqueton rajouté à cet effet. C’est avec un autre mousqueton que le maître rapprocha la gorge cerclée de cuir de la corde tendue. Quand il eut terminé, Puta n’avait pas la moindre liberté de mouvement : détail espiègle, lorsqu’elle essayait de mouvoir son cou, la corde se faisait plus pressante entre ses lèvres.
Elle ne voyait rien. Elle l’entendait. Elle l’écoutait s’affairer tout en essayant de deviner ce qu’il lui réservait. Cinquante coups de martinets après, c’est la chaleur brûlant son cul qui obnubilait Puta. Pourtant, les glaçons fondaient rapidement, et depuis leur mise en place, la corde devait s’être glissée entre ses lèvres d’au moins un centimètre.
La sonnette de l’appartement retentit. Le mari de Puta se trouvait derrière la porte que son maître ouvrit sans aucune gêne apparente. Il lui a demandé s’il ne le dérangeait pas. “Non, pas vraiment, je suis en pleine séance, mais ce n’est pas grave, depuis le temps que je dois te montrer ce que ça donne en réel, profites en”. C’est ainsi que sans le savoir, le mari admirait son épouse méconnaissable, muette, immobilisée.
Les adjectifs viennent à manquer pour décrire une telle ambiguïté. Lui ne savait rien. Elle si. Puta tremblait sous l’étouffante combinaison en latex. Rien pourtant ne pouvait la trahir. Et pourtant, elle avait la peur au ventre. Son maître, lui, sentait le plaisir monter. Il prenait une intense joie à expliquer le rôle des glaçons qui se fendillaient sous le poids des talons. Le pied gauche touche de nouveau le sol. Le droit n’allait pas tarder rétablissant un équilibre de toute manière compensé par la corde qui pressait avec vigueur les chairs intimes de Puta.
“Ça me dépasse” conclut le mari. “Je ne comprends pas comment on peut prendre son pied comme ça”. “Tu changeras peut-être d’avis en voyant l’une des mes applications favorites”. Il libéra partiellement Puta guidée jusqu’au salon par la main de son époux. Une main qui emmenait le bras recouvert de latex. Sans se douter du malaise ressentie par la soumise, bien moins stressée avant son arrivée.
Ses poignets furent libérés. “Mets-toi à quatre pattes” lui commanda immédiatement la voix de son propriétaire. La silhouette de l’épouse séparait désormais les deux hommes. Le mari regardait son ami placer un échiquier sur le dos de la table improvisée. “Il y a si longtemps que nous n’avons pas joué” dit-il en s’installant dans un fauteuil.
En moins de vingt minutes, le mari avait perdu deux pièces majeures. Son épouse fatiguait sous la position exigée pour un parfait équilibre. Le propriétaire du lieu proposa un verre aussitôt accepté par son hôte. Il ramena des olives pour l’agrémenter. Gêné, son invité ne savait que faire des noyaux. Alors le piège commença à se refermer. “Tu les mets là” conclut il en déposant le premier d’une longue série dans la bouche ouverte et baveuse de Puta.
La première gêne passée, le mari commençait à sourire de la situation. “Finalement, ce n’est pas déplaisant d’être ainsi servi” déclara-t-il même. Toujours en plaisantant, il ajouta “il va falloir penser à la vider” constatant que la bouche de Puta regorgeait de noyaux. Son épouse a senti l’étreinte du collier. Le maître l’invitait à se redresser. Comme il l’aurait fait pour un animal, il pencha sa tête et se servit de ses doigts pour libérer les noyaux au fond d’un assez joli cendrier en pierre qu’il réservait à ses amis fumeurs. Puta avait un drôle de goût qui la hantait. Soudain, la nausée lui monta aux lèvres. “Tu veux voir son visage ?” proposa le vrai maître du jeu au mari qui jouait le blasé. “Pour dire vrai, je préfèrerai voir son cul” asséna-t-il comme un coup de poignard à sa femme. Le zip qui fermait l’entrejambe et remontait sur ses fesses se fit remarquer par sa sonorité particulière. L’air de la pièce s’abattit sur la peau humide. Il lui semblait glacial. Le latex bruissa quand son maître écarta bien la matière pour dévoiler une partie du fessier à l’invité surpris.
“Pas mal…” ; “Tu devrais le voir après une bonne correction, c’est… comment dirais-je… plus passionnant, moins quelconque” ; “Tu me connais, ça ne m’a jamais branché” conclut le mari en effleurant malgré tout la peau qu’il ne reconnaissait pas. Il faut bien avouer que lors de leurs ébats hygiéniques, sa femme était assez rarement aussi… moite.
“À quoi penses-tu ?” ; “Je me demandais pourquoi j’hésitais à la toucher, elle n’a pas l’air très farouche ta copine”. Il répondit d’un regard. Puta sentit le doigt de son mari glisser entre ses fesses. Elle resta sans réaction. Il l’enfonça d’un trait de plusieurs centimètres tout en se félicitant verbalement de la réaction docile de sa victime”
“C’est ça ton truc finalement ?” ; “Si l’on peut dire, ma femme adorée n’est pas très attirée par ces choses là”. Le visage du maître demeura impassible. “L’imbécile, si il savait…” ; “Dis moi, elle n’a plus rien d’une vierge ta copine… Y’a pas à dire, ça doit quand même être sympa une nana qui accepte la sodomie sans pleurnicher sans cesse ! C’est vrai quoi, la plupart du temps, elles te demandent d’arrêter alors que tu commences à peine à te sentir à l’aise…” ; “Tu m’as l’air bien informé pour quelqu’un qui ne pratique pas beaucoup…” ; “J’ai dit qu’elle n’aimait pas ça, et même si je ne le fais pas tous les quatre matins, ça m’est quand même arrivé depuis que nous sommes mariés” ; “Ha oui, voyez-vous ça…” ; “Mais surtout tu gardes ça pour toi” ; “Ne t’inquiètes pas, toi, tu oublies ce que tu voies chez moi, moi, j’oublie ce que tu me confies”…
Puta, elle, n’oublierait jamais. Sous la cagoule en latex, il y aurait pu y avoir d’autres perles que la sueur. Mais la rage l’empêchait de pleurer. Elle ne s’en doutait pas. Elle s’en moquait presque. Pourtant, sa fierté en prenait un coup… “Ecoute, j’avais prévu de la laisser seule quelques minutes, le temps d’aller rendre des k7, tu serais bien bête de ne pas en profiter”.
Elle n’eut pas le temps de se manifester — d’ailleurs, le pouvait-elle ? — que son maître la laissait entre les mains… de son mari. Avant de claquer la porte, il lui avait précisé qu’il pouvait “la prendre par tous les trous” et qu’il n’en avait “rien à foutre”. La situation serait montée à la tête de n’importe quel homme. Avouons-le…
Puta fut contrainte par la laisse de remettre ses genoux au sol. “Tu vas me sucer… enfin, tu vas essayer” se délecta à dire le mari tout en enfilant son sexe déjà raide dans le bâillon O qui ne lui laissait que sa langue pour lutter avec le membre gonflé. En temps normal, le mari se délectait lorsque son épouse déposait ses lèvres contre son pubis, avalant ainsi son membre comme une vraie actrice de porno. Mais cet après-midi là, il ne pouvait même pas déceler de similitude dans son comportement. Les lèvres écartées par le bâillon, sa femme ne jouait qu’assez maladroitement de sa langue bien esseulée.
Les mains puissantes quittèrent le sommet du crâne de Puta pour le sommet de ses fesses. Appuyées sur ses reins, elles aidèrent leur propriétaire à prendre la jeune femme remise par la f o r c e des choses à quatre pattes. Elle n’en revenait pas. Son mari la trompait. Son mari la trompait avec une inconnue. Son mari allait et venait sans ménagement entre les fesses d’une inconnue. Sans ménagement, ni précaution ! “C’est vraiment un salaud” pensait Puta quand la douleur des assauts lui en laissait le temps.
Soudain, le mouvement se ralentit tandis que le râle rauque devenait vulgairement audible. “Il jouit en moi en plus, il ne se retire même pas” pensait l’épouse humiliée. Il recommença à se mouvoir entre les fesses avec un entrain moins prononcé. Puta sentait les mains posées sur le corset, triomphalement, il flattait la pouliche qu’il montait. Lorsqu’il se retira, ce fut pour passer de l’autre côté et f o r c e r Puta à lécher une queue fatiguée et souillée. Elle ne put s’y soustraire, son mari maintenant la pression sur la cagoule qui cernait son crâne. Sans le bâillon, elle lui aurait peut-être mordu le sexe pour qu’il lâche prise. Mais cette éventualité était bien loin, c’est lui qui dominait le jeu. Il le dominait dangereusement.
Le danger prit la forme d’un filet de lumière : brusquement, l’envie de voir les yeux de celle qu’il venait de prendre lui vint et, sans lui dire, le mari enleva le masque à sa victime. Puta se protégea en fermant les paupières, les maintenant obstinément closes. “Montre-moi tes yeux salope” lui dit-il sans savoir à qui il s’adressait. Parce qu’elle ne lui obéissait pas, le mari promena son gland sur les paupières fardées, comme pour les imprégner de son parfum.
Le maître de Puta arriva juste à temps pour interrompre la suite. Il suffit que la porte ne s’ouvre pour que le mari se réajuste en s’éloignant de son épouse trompée et souillée, yeux mi-clos, mi-humides.
Cet épisode avait bouleversé Puta. Jusqu’alors, sa vie était un précaire équilibre entre son couple ronronnant et ses envies condamnables. La soumise et l’épouse. Le problème est né de cet épisode. Elle ne voyait plus en son mari qu’un étranger et un menteur.
En quelques mois, ils s’étaient considérablement éloignés. Elle ne se soumettait pourtant pas plus souvent, se réservant pour des séances éparses mais intenses.
“Au fond, il ne me connaît pas. Il ne sait plus ce qui me fait vibrer. Avec toi, je suis bien. J’ai l’impression d’exister” et pour cause, elle existait comme soumise, une soumise dévouée et attentive aux envies de son propriétaire.
Sans cet après-midi de méprise, elle n’aurait sans doute jamais abandonné son mari pour deux semaines de congés d’hiver. Peu importe le prétexte, il n’y croyait pas vraiment, elle n’avait pas cherché à faire efficace, convaincue qu’il la tromperait à peine partie.
Son maître lui avait dit de voyager léger. Elle savait juste qu’ils resteraient en France. Elle ignorait tout du séjour qui l’attendait. En arrivant au milieu de nulle part, elle a commencé à s’interroger sur la nature des congés. En apercevant Martha les accueillant chez elle, une maison de pays anonyme et recluse, elle a commencé à frémir. Martha, c’était un symbole, le symbole d’un stade qu’elle n’aurait jamais pensé franchir.
Lors du tour du propriétaire, le maître ordonna à sa soumise de se mettre nue. Puta a obéi sans broncher. “Elle a fait de gros progrès” souligna Martha en les emmenant tous deux vers le joyau de la visite. Dans une ancienne salle de bains, la maîtresse des lieux avait aménagé une salle de détention des moins accueillantes. Sans fenêtre, la pièce se caractérisait par une lourde porte munie d’un regard et d’une trappe au sol. Entièrement carrelée, la pièce était uniquement éclairée par des spots encastrés dans un plafond.
On pouvait lire sur le visage de Puta. Elle était impressionnée. Il y avait de l’appréhension. Pourtant, elle était loin d’imaginer la suite. Tous trois rentrèrent dans la cellule. C’était le terme qu’employait Martha en décrivant sa pièce de détention. Elle termina l’explication en montrant les anneaux disposés au plafond, au sol et aux murs. “Avec ça, je peux tout faire” dit-elle avant de présenter “le coin de repos” : un vieux sommier recouvert de latex. “Il n’y a pas de couverture” commenta le maître. “Ce n’est pas un hôtel quatre étoiles” plaisanta la maîtresse des lieux. “Aucun confort. La lumière est commandée de l’extérieur. Les murs et la porte sont assez épais pour étouffer les complaintes les plus audibles. ”
Puta frémit en regardant Martha expliquer à son maître que le détenu faisait ses besoins dans un pot de chambre glissé sous le sommier. “Tu me l’as déjà dit mais Puta serait sans doute intéressée par ton record de détention” dit le maître. Martha s’approcha de Puta et lui dit avec un air amusé “l’année dernière, j’ai gardé un gentil garçon pendant une semaine et à la fin, tu vas rire, il léchait mes bottes pour y rester encore un peu”. Le regard de Puta prit la direction du sol. Impressionnée, elle n’a pas prêté attention à l’éloignement de son maître et de Martha.
Quand la porte s’est refermée, elle a cru à une plaisanterie et est restée calme. Le regard s’est ouvert et son maître s’est adressé à elle. “Bienvenue en enfer ma belle. À noël tu m’as dit que tu n’aurais jamais de cadeau assez beau pour me satisfaire. Je crois que tu te trompais. Tu vas passer une très, très longue semaine avec Martha. Je lui ai donné toute mon autorité. Elle peut et va te punir. Après tout, il restera une semaine pour que les marques s’effacent. Obéis. Sois forte. Pense à ce que tu as déjà traversé. Pense à l’amour que tu me portes. Pense à celui que j’ai pour toi. Sois Puta. Oublie qui tu es. Pendant une semaine, tu n’es que Puta.”
Le regard s’est refermé, la lumière s’est éteinte. Puta s’est jetée contre la porte en suppliant son maître de ne pas la laisser comme ça. C’était trop tard. Elle appartenait à Martha. Et elle savait à quel point Martha pouvait être efficace et persuasive.
Le jour se levait. Nous étions samedi matin et Puta n’en savait rien. Sans vraiment en avoir conscience, elle venait de passer sa première nuit en cellule. Recroquevillée sur le sommier, elle avait froid. La cellule était fraîche et sans aucun moyen de se recouvrir.
C’est amusant, d’un côté sa peau luttait contre la fraîcheur, de l’autre, le latex recouvrant le sommier l’habillait d’un duvet de sueur.
Puta avait faim. Mais plus que tout, elle mourrait de soif. Quand la porte s’est ouverte, elle s’est empressée de gémir qu’elle avait besoin d’eau. Martha s’est contentée de lui répondre “ici, tout se gagne” qui la fit se redresser sur son lit. Elle s’est mise à genoux et a regardé celle qui la retenait prisonnière. “j’ai déjà vu ce regard quand tu étais dans ma cage, je te rappelle que ça ne t’avait valu aucune faveur” lança Martha, vêtue d’un pantalon et de bottes en cuir dont le fétichisme contrastait avec le pull blanc en laine qu’elle portait avec élégance.
Puta est descendue du lit à quatre pattes pour venir se placer aux pieds de Martha. “Tu as conservé quelques bonnes habitudes” prononça la maîtresse en flattant la hanche droite de Puta à l’aide de la cravache qu’elle tenait en main. À genoux, la prisonnière attendait la suite en sachant qu’elle la détesterait et finirait par l’apprécier. “C’est à chaque fois la même chose avec toi’ répète souvent son maître. “Je venais simplement contrôler ton état” dit Martha en tournant les talons. “Maîtresse, est-ce que je pourrais avoir de l’eau ?” murmura Puta. En refermant la porte, la maîtresse répondit qu’elle allait y réfléchir. La lumière s’éteignit.
Deux heures plus tard, mais là encore Puta ne s’en rendait pas compte, la trappe située près du sol s’ouvrit. Une écuelle apparut dans un halo de lumière qui disparut aussitôt. À tâtons, Puta s’est dirigée vers la porte. Une main longeait le mur tandis que chaque pied avançait l’un après l’autre. Quand elle a heurté l’écuelle, Puta s’est précipitée à quatre pattes. “Quelle conne, tu l’as renversée” c’est sans doute ce que lui aurait dit son maître. Elle en avait la rage au ventre. Lorsqu’elle eut fini de laper le liquide à même le carrelage, c’étaient les larmes qui lui montaient aux yeux.
Le clocher du village voisin avait sonné trois coups. Puta ne pouvait pas les avoir entendu. La porte s’ouvrit. Martha découvrit sa prisonnière sur le latex. Elle était parvenue à dormir malgré les conditions particulières dans laquelle elle se trouvait. La maîtresse a souri à la vue de l’écuelle retournée. Un coup de pied dans l’aluminium suffit pour réveiller l’endormie. “3 heures, c’est l’heure à laquelle tu quittes ta cellule” expliquait Martha en s’asseyant à côté de la rousse fatiguée. “Tu te reposes la journée, à trois heures je viens te chercher pour te préparer, ensuite, tu passes la soirée et la nuit à faire ce que l’on attend de toi” dit celle qui émergeait aussi d’une sieste salvatrice. “Maintenant, au pied Puta” commanda Martha.
Elle se saisit d’un des objets qu’elle avait amené. “Ça, c’est le collier que tu vas porter à partir de maintenant jusqu’à la fin de ton séjour”. Puta manqua de s’exprimer verbalement. Mais elle se résigna, sachant que toute remarque exciterait son geôlier. Martha, elle, se contentant parfaitement de l’expression du visage dont la pâleur était rehaussée d’un cerclage en métal impeccablement lisse et adapté à la gorge de la victime. Lourd, épais, haut, ce collier agissait comme une étreinte perpétuelle qui allait user Puta au fil du temps. Une étreinte parfaite et inv i o l able : le collier se refermait sur la nuque grâce à deux vis dont la tête n’acceptait qu’une clé spécifique. Martha aimait ce type de fermeture depuis qu’elle éduquait des mâles en variant les ball-weighters. Lors d’un voyage outre-rhin, elle avait eu le plaisir de trouver un fabricant utilisant un système comparable et amélioré pour les colliers et les bracelets.
Car de bracelets, il était question aussi. À l’image du collier, les bracelets étaient inv i o l ables et munis d’anneaux destinés à recevoir corde, chaîne ou cadenas.
“Relève-toi” commanda Martha à Puta équipée de ces artifices remarquables par leur poids. “Tu vas me suivre pour ta toilette mais avant tu vas vider ton pot de chambre”. Comme la petite gamine, Puta s’est saisie de son pot de chambre aux effluves humiliantes pour aller le vider dans les toilettes situées au rez-de-chaussée, à l’autre extrémité de la maison.
Quand Puta revint aux pieds de Martha dans la salle de bains voisine des toilettes, celle-ci lui demanda pourquoi elle avait tiré la chasse deux fois. “La première c’était pour le pot, la seconde pour moi Madame”. “Je te préviens et c’est la dernière fois, tes toilettes, c’est le pot, uniquement. Et si tu as une envie pressante en ma présence, tu me demandes la permission, c’est bien compris ?”. “Oui Madame, c’est très clair.”
“Bienvenue en enfer” les paroles de son maître lui revenaient régulièrement à l’esprit.
Pourtant, après un peu moins de 24 heures dures, ces moments dans la salle de bains ne lui étaient vraiment pas désagréable. Le bain préparé par Martha était chaud et parfumé. Elle lui avait préparé un rasoir pour être parfaitement lisse et une brosse à dents pour l’hygiène indispensable. Certes, Martha la surveillait, mais Puta se détendait et oubliait ses entraves.
Séchée, elle l’aida à se coiffer avant de la maquiller de manière à outrageusement souligner ses lèvres et ses paupières.
Le moment de l’habiller est arrivé. Un corset en latex l’attendait. Un corset qui mordrait sa taille rendant sa poitrine encore plus impressionnante. “Des mamelles comme ça, il faudrait les traire” a commenté Martha en soupesant d’une main chaque globe de Puta.
“Je pense qu’ils t’iront” estima Martha à propos des bas en latex noir donnés à la corsetée qui a souffert pour les enfiler. “Ce corset est beaucoup plus rigide qu’on le pense” s’amusa celle qui l’avait choisi pour Puta. Elle fixa les bas aux jarretelles en latex intégrées au corset noir, dont la rigidité était assurée par quatre larges baleines en métal.
Chaussée sur des escarpins de 15 centimètres aux talons étroits, Puta n’avait plus rien à voir avec la prisonnière nue sortie de son cachot. “Je te préfère comme ça” fit remarquer Martha à la jeune femme rousse en se plaçant derrière elle. “Donne moi tes mains” : Puta s’empressa d’obéir en mettant ses bras derrière elle. Au moyen d’un lien en cuir, elle lia les bracelets qui serraient les poignets de Puta. En un clin d’œil, elle a remonté les poignets et les avant-bras en glissant le lien dans l’anneau situé à l’arrière du collier puis en tirant sur ce même lien.
La maîtresse vérifia la position des bras puis le visage de Puta. “Je ne cherche pas encore à te faire mal, simplement à t’immobiliser convenablement” déclara Martha à Puta. C’est vrai, elle n’avait pas mal. La position l’empêchait simplement de mouvoir ses bras et ses épaules. De plus, le poids de ses membres supérieurs contribuait à lui faire garder la tête bien droite, qualité qu’apprécie l’auteur de cette immobilisation. “Suis-moi” commanda la petite brune toujours vêtue de cuir et de son pull moulant. Elle tira sur la laisse qu’elle venait de fixer au collier pour donner à Puta le signal du départ.
Les deux femmes, la dame et la femelle, traversèrent à nouveau la bâtisse avant d’emprunter l’escalier étroit qui menait au grenier aménagé. Là, les grandes poutres en chêne et les murs en pierre prenaient une dimension religieuse. Il n’y avait pas beaucoup de mobilier mais le peu qui s’y trouvait inspira à Puta un silence de circonstance.
“Assieds-toi là” ordonna Martha en donnant un coup sec sur la laisse pour lui faire courber l’échine. Puta ne put s’empêcher d’examiner le tabouret sur laquelle elle allait s’asseoir. Bas, très bas même, son assise se distinguait par un énorme phallus. “Tu t’es déjà faite prendre par un engin pareil ?” interrogea Martha. La jeune femme rousse répondit d’un signe de la tête. “Alors tu vas découvrir des choses nouvelles” conclut la maîtresse en tirant sur la laisse sans discontinuer. Puta s’est résignée à écarter les cuisses puis à fléchir les genoux pour se placer au-dessus du pâle arrondi. Martha la dominait maintenant de sa hauteur. Les yeux levés, la bouche timidement ouverte, elle lui demanda poliment de l’aide. Martha se pencha pour venir glisser ses doigts sur les lèvres de Puta. Guidée mais f o r c é e, elle a grimacé plus d’une fois en sentant l’engin l’emplir. “Relève-toi” jugea utile la maîtresse avant de la faire se rasseoir pour éviter la douleur qui surgissait. La troisième tentative fut la bonne, Puta était assise sur le minuscule tabouret, l’essentiel du poids de son corps reposait sur son bassin en raison de la position de ses jambes. Très repliées en arrière, la pointe de ses souliers prenait appui sur le parquet tandis que ses mollets touchaient ses cuisses.
Sa maîtresse décrocha la laisse qui mordait la face avant du collier pour s’en servir comme d’un lien classique. En l’enroulant autour des chevilles après les avoir rapprochées, Martha avait placé Puta dans une position triplement inconfortable.
Tout d’abord parce qu’elle s’empalait de tout son poids sur l’énorme phallus vernis. Puis, par le jeu de la position, un engourdissement ne tarderait pas à s’emparer de Puta. Le plus terrible étant sans doute que se relever lui était devenu impossible grâce à la laisse serrée sur ses chevilles et attachée au barreau supérieur du tabouret, empêchant ses pieds de toucher le sol.
“Maintenant que tu es confortablement installée, je vais t’expliquer ce qui t’attend pendant cette semaine” dit Martha en entamant un monologue qui allait durer pendant de longues minutes. Martha aimait prendre son temps lorsqu’elle faisait preuve de pédagogie. Surtout après avoir déboutonné son pantalon en cuir et l’avoir arrêté à mi-cuisses, dévoilant un sexe toujours aussi parfumé. Il est vrai que le visage de Puta l’effleurait presque. Martha aimait donner la leçon en recevant les honneurs qui lui étaient dus. Un pas en avant et la vue de la soumise s’obscurcit. “Lèche Puta” ordonna Martha avant de reprendre. “Cette semaine, tu vas apprendre ce que signifie l’expression être baisée par tous les trous. Je vais t’offrir à ceux et celles que je côtoie, ils a b u s e ront de toi et te traiteront comme tu le mérites”. Une pression du bassin et la langue de Puta glissait entre les petites lèvres de sa maîtresse. “Quand te voir a b u s é e me lassera, je me déchaînerais sur tes fesses, sur tes seins et sur ton corps. Tu auras droit à mes plus belles pinces, tu goûteras à mes plus cruelles cravaches, redouteras la fessée en public et appréhenderas mes envies de t’humilier. Au matin, tu retrouveras ta cellule et tu pleureras de joie de la retrouver”.
La bouche de Puta s’emplissait d’une cyprine brûlante et excessivement fluide. “Je te rendrais à ton maître marquée et tu prieras pour que toutes ces marques disparaissent avant ton retour chez toi. Mais une chose est certaine, quand je te rendrai à ton mari, il te retrouvera dilatée et docile comme jamais tu ne l’as été”. Martha eut un mouvement de recul, laissant un filet de salive l’unir pendant un court instant à la jeune rousse impressionnée. “Pas mal Puta” conclut Martha en lui faisant lécher son majeur après avoir remis son pantalon. Quand son doigt quitta la langue fatiguée de Puta, la maîtresse le remplaça par un bâillon O afin de maintenir au silence sa bénéficiaire.
Des heures entières s’écoulèrent sans que personne ne vienne s’intéresser à Puta qui, cette fois-ci, se rendait compte du temps écoulé. Chaque quart d’heure augmentait sa fatigue et sa gêne. Ses jambes devenaient douloureuses tandis que le phallus en bois lui soutirait de vrais soupirs à chaque tentative de mouvement.
Quand le grenier s’emplit de nouveau d’une présence humaine, la maîtresse des lieux était accompagnée d’un couple et de deux hommes bien bâtis. Puta gardait la tête baissée n’osant affronter leur regard. Elle supportait déjà leurs commentaires sur son physique et l’état qui l’accablait. Entendre Martha leur expliquer ce qui remplissait ses entrailles l’aurait presque excitée si elle n’avait pas eu envie de la supplier. Elle aurait eu envie d’être libérée. Mais Puta et ses envies n’étaient pas prises en considération durant cette semaine de mise à l’épreuve. Martha révéla son visage en la tirant par les cheveux. “Tout s’est bien passé pendant notre dîner ?” demanda Martha le sourire aux lèvres. Elle relâcha la tignasse rousse, la tête de Puta retomba vers le sol comme un jouet de celluloide. “Demain, tu serviras à table Puta” lança la maîtresse à qui voulait l’entendre. “Demain tu serviras à table puis tu honoreras mes invités” dit-elle avant d’ajouter “comme tu vas le faire maintenant” en empoignant à nouveau les cheveux roux.
La tête enfin droite, l’infidèle voyait le mari déshabiller doucement sa femme sans prendre encombre des autres invités. C’est lors de la deuxième semaine que l’énigme des invités fut résolue pour Puta. Son maître lui expliqua alors qu’en province, les clubs sado-maso étaient rares mais que l’échangisme se pratiquaient avec assiduité. “J’ai promis à ces messieurs ton cul et ta chatte, tu n’y vois pas d’inconvénient n’est-ce pas ?” demanda Martha à celle qui ne pouvait répondre. “Elle ne dit rien, c’est donc qu’elle est d’accord !” plaisanta-t-elle avant d’inviter “ces messieurs à se mettre à l’aise”. Ils n’en croyaient pas leurs yeux. C’est le couple qui les avait amené ici leur promettant de longue date un spectacle comme on voit une fois dans sa vie. Une occasion unique de baiser une femme infidèle complètement offerte à leurs désirs. Ce genre d’occasion est difficile à négocier. Eux avaient choisi d’essayer. Et devant la générosité de Puta, ils ne regrettaient pas d’être venus, se demandant comment entamer ce festin.
L’homme marié pria aimablement sa femme de se mettre à genoux. Il convia l’un des deux costauds à venir se faire échauffer par la bouche de sa femme. L’autre se dirigea vers Puta et plongea ses yeux marrons dans les siens. Les paupières lourdement fardées se fermèrent. Le signal était donné : la jeune femme sentit l’odeur du sexe avant d’en percevoir le goût. Fin mais long, l’homme glissa son sexe déjà en condition à travers le O du baillon tout en jetant ses mains sur les seins de Puta.
Il serait impossible et fastidieux de décrire l’intégralité de ces pénibles instants. Pénibles aux yeux de Puta, du pain béni pour les invités de Martha qui prirent le relai d’un marathon de la fellation. Le troisième, gêné par le baillon, demanda à Martha de lui enlever.
Puta a alors tenté de se refuser à cette troisième queue mais les doigts épais d’un homme se firent un devoir de maintenir écartées les mâchoires jusqu’à ce que Puta se résigne à sucer et sucer encore les trois mâles. Le deuxième à nouveau en bouche éjacula presque aussitôt et en petite quantité. Puta eut à peine le temps de recracher qu’un autre avait prit sa place.
La ronde s’est poursuivie un petit moment à ce train jusqu’à ce que les assaillants eurent envie d’aller au delà. C’est Martha qui a alors libéré Puta de son inconfortable position. En se relevant, les jambes en coton, elle laissait le spectacle d’un phallus brillant et moite. Un du trio s’agenouilla pour admirer et s’extasier à voix haute du spectacle des lèvres écartées, une fleur parfaitement épanouie, une orchidée impudiquement exposée à la vue des spectateurs heureux et impatients.
La maîtresse de maison a offert à l’autre femme présente le privilège de gouter ce fruit dont la liqueur abondait. “Une vraie petite abeille” commenta son mari fasciner de voir l’épouse récolter autant de miel. C’est le moment qu’il choisit pour l’honorer dignement pendant qu’elle accomplissait une inspection en règle. Le deuxième mâle, plus prompt que le dernier, se présenta entre les fesses de Puta après avoir suivi les recommandations de Martha. Tandis qu’elle se faisait lécher, Puta n’eut d’autre choix que de s’ouvrir à la queue gainée de latex.
Un long tourbillon a alors emporté l’infidèle. Trois mâles dont un insatiable se motivèrent et se relayèrent pour l’entendre gémir et même supplier d’arrêter… ou de continuer. Car même si tout cela était fou, le plaisir physique était monté si haut qu’elle n’était plus capable d’écouter sa raison.
Imaginez ce que Puta pouvait ressentir après trois heures de tabouret et les assauts multiples de plusieurs hommes coutumiers des excès échangistes. Imaginez ce qu’elle a pu ressentir à s’abandonner sans pouvoir renoncer à ces mâles relayés par deux femmes avides de ses seins et de ses lèvres. Imaginez ce que la rousse aux lèvres blanches pouvait ressentir en se voyant basculée sur une table basse, transportée sur un lit, attachée à une poutre. Imaginez à quelle sensibilité elle était parvenue après la plus longue étreinte de sa vie, jonchée sur ses talons, tenue debout par la seule f o r c e d’une laisse en cuir passée autour d’une poutre et tirant son collier. Exténuée, vidée, essoufflée, souillée, dilatée, irritée… Les qualificatifs ne manquent pas pour décrire tout ce qu’elle ressentait après que la tempête fut passée.
L’épouse continuait de sucer timidement et doucement son mari ramolli. L’un des mâles savourait un cigare en la regardant, le sourire aux lèvres. Martha repoussait aimablement le dernier homme qu’elle jugeait trop indiscipliné pour s’intéresser à lui. L’alcool brûlait la bouche de Puta encore enflammée du verre que lui avait fait boire Martha pour la stimuler dans les dernières saillies.
Les plans de la maîtresse de maison étaient contrariés. Aucun de ses invités n’avait la f o r c e de recommencer une telle orgie. De plus, elle savait que Puta ne la supporterait pas. Elle ne voulait pas la voir s’effondrer en larmes aussi tôt dans ce séjour initiatique. Elle modifia ses intentions et décida de la libérer pour qu’elle remplisse les verres vides et accomplisse un service digne de sa condition. Ces termes n’égratignaient plus une jeune femme dans un état second, complètement déconnectée de la réalité, affreusement troublée par sa docilité. En guise de récompense, Martha lui laissa dévorer une grappe de raison qu’elle lui distillait à la volée, ne se lassant guère de voir Puta aller chercher à quatre pattes les grains à ses pieds.
Martha pensait veiller une partie de la nuit. Il était à peine une heure du matin lorsqu’elle raccompagna Puta à sa cellule. “J’ai besoin de prendre un bain” suppliait-elle en chemin. “Demain. Jusqu’à demain, profite de ton odeur” répondit Martha avec ce ton qui n’appelait aucun commentaire pendant qu’elle la déshabillait.
La porte de la cellule s’est refermée. La lumière s’est éteinte et Puta se dirigea lentement vers sa couche. Elle s’est allongée sur le latex et s’est recroquevillée la tête contre les genoux. Une odeur de sperme et de sueur émanait d’elle. Elle aurait souhaité se débarbouiller. Enlever ce parfum humiliant et adoucir cette peau sur laquelle séchait le sperme déversé.
Dans la matinée, le regard de la porte s’est ouvert mais Puta n’eut droit à aucune parole. Le geôlier glissa par la trappe deux gamelles remplies, l’une d’eau, l’autre de céréales noyées dans du lait. Affamée, elle s’est jetée sur ce qui lui avait été donné. Puis passèrent les heures qui précédaient la libération. Elle se sentait moins sale. Elle n’avait plus mal. Elle avait tout le loisir de repenser aux méfaits et aux bienfaits de la veille.
À trois heures, Martha est venue la chercher pour l’emmener au bain. Comme la veille, cet instant s’avérait délicieux. Tellement plus agréable que de devoir vider son pot de chambre sous le regard amusé de son geôlier. Comme la veille, Martha la maquilla et la coiffa avec un chignon qui mettait en valeur son visage. “Je dois vraiment garder tout le temps le collier et les bracelets ?”. Vous connaissez la réponse de la propriétaire des lieux.
Comme la veille, Puta fut promenée jusqu’au grenier. Elle s’étonnait d’être nue. Martha la plaça sous une poutre desquelles descendaient des chaines. Un cadenas verrouilla chacune d’elles à son bracelet respectif. Les bras écartés en forme de V, Puta n’imaginait pas la suite. “Comment va ta chatte aujourd’hui ?” s’est-elle entendue demander. “Et ton cul ?”. Réponse courte et encourageante, c’est à la réplique de Martha qu’elle prit conscience du danger. “C’est bien parce qu’après avoir pris soin de l’intérieur, je vais m’occuper de l’extérieur”.
“C’était un avant-goût” lui glissa Martha à l’oreille après avoir transformé ses fesses blanches en un cercle rouge. “J’ai toujours aimé fesser les culs rebondis” conclut-elle en relâchant la taille de la rousse au visage rosi par l’émotion. Martha l’avait si longtemps fessée qu’elle en avait mal aux mains. Méthodiquement, de face, par derrière, d’en haut ou d’en dessous, à une ou deux mains, en douceur ou avec vigueur, lentement ou rapidement, Puta avait eu droit à une leçon de fessée. “Ce soir, j’utiliserais mes jouets préférés. Ça va beaucoup amuser mes invités. Je les laisserai même jouer avec toi… Je vais leur vendre ton cul. Mais je garde le meilleur : tes mamelles et ta chatte. Ce soir, tu vas pleurer…”
Libérée, Puta a revêtu la tenue adéquate pour servir lors d’une soirée. C’est en supervisant les opérations que Martha se félicitait de l’avoir laissée presque nue. Les bas noirs faisaient de belles jambes affinées par les talons aiguilles et le tablier de soubrette permettait d’admirer à loisir ses fesses et ses seins. Elle savait que cette nudité incomplète allait poser de réels soucis à la rousse au chignon, surtout devant six invités pour lesquels elle dressait le couvert.
Martha est ensuite allée se préparer, préférant opter pour une robe en vinyle après avoir longuement hésiter sur l’opportunité d’une jupe en cuir. Pendant ce temps, Puta achevait de préparer les entrées tout en surveillant la cuisson d’une pièce de viande blanche.
À l’insu de la maîtresse de maison, elle picorait dans les plats qu’elle préparait. Il est heureux qu’elle ne se soit pas faite surprendre. Martha aurait très certainement sévèrement puni cet abus de confiance.
Lorsque les premiers invités sont arrivés, la docile Puta jouait du balai sur le carrelage de la pièce principale. À l’entrée de ces deux frères jumeaux, elle essaya de rester stoïque tout en continuant la mission que lui avait confiée la maîtresse de maison.
Il en fut de même à l’arrivée de chaque nouvel invité. Qu’il s’agisse du couple de la veille au soir pendant qu’elle servait un apéritif aux deux frères ou bien des entrées décalées d’une femme d’un certain âge puis d’un autre homme. Puisqu’elle éprouvait depuis plusieurs minutes le même sentiment, Puta décela très vite chez ce jeune garçon un malaise palpable. Il n’était visiblement pas à l’aise. Elle non plus. Jamais elle n’avait servi autant de convives dans une tenue pareille. Et, ce qui l’étonnait le plus, c’est qu’à l’exception d’une politesse ou deux, personne ne semblait la considérer comme autre chose qu’une servante. On l’appelait sans la nommer, on lui demandait un verre, une entrée, une allumette… Il n’y avait pas de répits pour Puta qui déambulait sur ses talons à travers la maison aux volets désormais clos.
Chacun prit place autour de la table. Les frères jumeaux installèrent leurs pantalons en cuir l’un à côté de l’autre, le couple échangiste se plaça en vis-à-vis, le mari à côté de la dame aux longues bottes. Martha pria le jeune homme de s’installer à la droite de sa place d’honneur. “Tu peux nous servir Puta” lui déclara Martha avant de reprendre sa conversation avec ses invités, visiblement tous réjouis par ce dîner dont elle se savait l’attraction.
Servir à table requiert beaucoup d’adresse, de délicatesse, de politesse et de précision. C’est en servant à table que Puta s’est rendue compte à quel sa nudité la rendait vulnérable. Dès qu’elle se penchait pour déposer une assiette, elle sentait le vêtement de l’invité se frotter à ses seins victimes de la gravité. Son obéissance appelait aussi une familiarité que le mari qui la veille avait déversé le contenu de son préservatif sur son visage ne tarda pas à retrouver. Alors qu’elle lui regarnissait son assiette en salade, il glissa sa main sur ses fesses pour vérifier leur sensibilité. “Nous avons tous vu que tu n’y étais pas allée de main m o r t e, mais je peux vous assurer à tous que notre adorable soubrette en garde un souvenir cuisant”. Des rires se sont élevés, la dame fit même mine d’applaudir cette phrase “si joliment dite” avant de voir le silence reprendre ses droits. Les invités commençaient à voir leur appétit croitre, Martha appela Puta d’un signe de la main qu’elle lui posa sur l’épaule afin qu’elle comprenne son devoir. En fermant les yeux, elle s’est agenouillée à côté de sa maîtresse sous le regard amusé et passionné de l’assistance.
“Tu peux te relever” lui signifia Martha quand tous eurent achevé leur entrée et que leurs conversations se soient orientées sur la suite du repas. Puta amena le plat qu’elle déposa en bout de table, à l’opposé de la maîtresse des lieux, face à tous les convives. “Serre-nous, qu’attends-tu ?” lança la brune aux yeux noirs qui voyait Puta ne sachant que faire.
Là encore, la nudité et la liberté de ses seins allaient augmenter le trouble de Puta. Découper une volaille est une chose, c’en est une autre de le faire sous le regard attentif d’invités qui guettent le moindre ballottement de votre poitrine.
Lorsqu’elle eut servi chaque convive, elle regagna sa place aux pieds de sa maîtresse qui, en guise récompense, lui glissait en bouche un morceau de viande blanche assez régulièrement tout au long de son repas. Bien entendu, il arriva plus d’une fois que le verre d’un invité vienne à manquer de contenu. Puta se relevait alors, les genoux rougis, pour aller accomplir son devoir avant de reprendre place à la droite de Martha, non loin du jeune homme.
Jusqu’au dessert, il ne manqua pas de la regarder. Parfois, leurs regards se croisaient. Puta lisait de la compassion dans ce regard. C’était la seule personne autour de la table qu’elle ne voyait pas uniquement s’exciter à la regarder.
Les invités quittèrent l’un après l’autre la table. “Puta, débarrasse la table. Quand tu auras terminé, viens nous rejoindre au grenier” lui commanda Martha avec autorité. “Je pourrais peut-être l’aider” demanda le jeune homme à la brune que le vinyl mettait admirablement en valeur. “Pas question” rétorqua-t-elle.
Quand Puta entreprit de gravir les marches de l’escalier, elle a immédiatement compris que l’ambiance avait changé. Une musique douce virevoltait à travers la pièce, l’odeur de tabac se répandait jusqu’au rez-de-chaussée et quand elle fut en mesure de les voir, elle constata que les visages avaient changé. En regardant dans la même direction qu’eux, elle découvrit le spectacle d’un homme jeune que la femme mûre finissait d’immobiliser au moyen de corde épaisse. Il ne pouvait plus bouger, et, pour en rajouter à son malaise, elle se servit d’une poutre voisine pour lui passer une corde autour du cou. “Puta, viens-ici”. C’était la voix de Martha et un frisson l’a parcourue à cet instant. “Tu sais pourquoi il est comme ça ?”. Puta hésita à répondre. “Parce qu’il est soumis.” Martha sourit. Puta entendit un rire derrière elle puis un murmure. “Il l’est. Mais si il est comme ça maintenant, c’est parce qu’il a voulu t’aider. C’est de ta faute Puta, et j’espère qu’à l’avenir tu sauras baisser les yeux. Regarde ce qu’il va subir par ta faute” lui expliqua froidement Martha avant d’ordonner à l’assistance de la maintenir. Les deux frères furent les plus prompts à réagir et empoignèrent chaque bras de Puta si fortement que l’envie de se mouvoir demeurerait une simple envie.
Martha s’est approchée de Puta, a glissé ses mains sur ses reins pour dénouer son tablier. En l’enlevant, la brune aux cheveux ondulés privait Puta du peu d’intimité qui lui restait et se munissait d’un redoutable objet entre ses mains. En roulant le tablier, elle réussit à obtenir l’accessoire adéquat pour commencer une punition. Malgré le peu de prédisposition de cet objet transformé, elle parvint à arracher quelques gémissements à sa victime en le projetant avec f o r c e sur les parties génitales du soumis reconnaissant.
Puta voyait mal mais elle entendait le moindre bruit, le plus petit murmure, le début d’une plainte. Quand Martha lança le tablier au sol tout en s’éloignant du soumis, elle put admirer comme les cuisses et le bas ventre sollicités avaient changé de teinte. La cravache qui trônait dans la main droite de Martha impressionna Puta dès que celle-ci l’aperçut. Si longue, elle semblait interminable, fine, elle devinait la douleur qu’elle ressentirait si ce cuir rigide venait la caresser. De l’extrémité arrondie, Martha joua avec les couilles du soumis avant de passer derrière lui. Là, le spectacle ne pouvait échapper à Puta. Le soumis la regardait. Quand ses yeux se sont clos, sa bouche s’est ouverte et a manifesté sa perception de la douleur. Puta ne comprenait pas comment il pouvait résister et ne pas supplier. Alors que l’après-midi même elle avait reçu une cuisante fessée d’abord commencée sur un rythme doux, là, elle voyait ce jeune homme être harcelé à un rythme effréné dès les premiers instants. Après une grosse trentaine de coups, le soumis bénéficia de la clémence de Martha. “Je ne vais pas le briser si vite” lança-t-elle à l’autre dominatrice, la dame dont Puta ne devinait pas l’âge.
“Approchez-là” commanda Martha aux frères terriblement troublés par la présence de Puta à leurs côtés. “Tu veux lui dire quelque chose ?” demanda Martha à sa prisonnière dont la poitrine effleurait presque le soumis. “Regarde-le dans les yeux”. Il avait de beaux yeux. Le regard n’avait pas changé, toujours empli de compassion. Ses yeux se plissèrent encore sous un nouvel assaut de la cravache. Dix coups… dix éclairs lancés à pleine puissance. Le bleu de ses yeux baignait maintenant dans une mare de larmes. L’un des frères encourageait Puta à s’agenouiller bientôt imité par l’autre. Le sexe tendu du soumis lui faisait maintenant face. Une main pressa le sommet de son crâne pour qu’elle aille vers lui.
Son parfum envahit immédiatement sa bouche. La main l’empêchait de reculer tandis que le frère rattachait les bracelets au verso du collier grâce au lien que venait de lui donner la dame aux bottes admirablement cirées. C’est elle-même qui eut l’idée d’ajouter un lien qui allait beaucoup amuser l’auditoire. Tout en le faisant, elle expliquait aux invités le déroulé de l’opération. Ainsi, tous ont pu imaginer le lien passer dans l’anneau sur l’avant du collier de Puta, tous ont pu imaginer le nœud se constituer avant que le lien ne reparte entre les cuisses du soumis. Là, Martha intervenait pour récupérer le lien en cuir et le glisser entre les fesses poilues avant de le nouer aux cordes qui mordaient la ceinture abdominale. Puta essaya de libérer sa bouche. En vain. Le lien l’empêchait de reculer, suffisamment pour que sa bouche ne puisse échapper à l’excitation du soumis.
Elle entendit s’abattre la cravache. Au même instant, le sexe qu’elle goûtait s’est raidi. Pour chaque coup, le scénario serait le même. Le sifflement du cuir, le cri et le sursaut du sexe. “Est-ce que cette salope te suce ?” questionna la dame. “Non” répondit entre deux grimaces le soumis. “Tu pourrais au moins encourager celui que tu fais souffrir” lança Martha pour que Puta se sente encore plus mal à l’aise. Les sifflements reprirent. Quelque peu espacés. Plus le soumis gémissait, plus le rythme ralentissait. Enfin, un claquement sourd s’intercala entre les sifflements : les manifestations sonores et physiques du puni doublèrent. Martha et la Dame se relayaient, l’ainée préférant user de sa main pour réchauffer les zones oubliées par la cravache. Puta sentait des larmes de sueur lui couler sur le nez. Le puni transpirait à grosses gouttes. Visuellement, le spectacle avait de quoi ravir l’assistance. Puta avait beau se démener, elle gardait le sexe en bouche tandis que les deux dominatrices travaillaient le cul du soumis. Dorénavant, tous ses muscles se raidissaient lorsqu’une caresse appuyée venait le tourmenter. Puta commençait à peine à promener volontairement sa langue le long du sexe turgescent quand elle déversa un flot épais de sperme. Sous l’abondance,
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